Aah, libérer l’espace dans ce tiroir, faire de la place dans cette armoire…! Mais c’est le rêve quoi !
Et oui, qui n’a jamais ressenti ce moment où l’on se dit : « Stop, c’est trop, je ne peux plus supporter le désordre chez moi ! »
Même en essayant de ranger, cela semble sans fin. Pire, deux heures après avoir libéré l’espace, c’est à nouveau le désordre.
Et si cette sensation de désordre perpétuel n’était pas juste une impression ?
Et si cette oppression venait du fait que votre intérieur reflète votre être intérieur ( logement-mental)?
Laissez-moi vous raconter une histoire. Il y a quelque temps, j’ai eu l’opportunité de travailler avec Laura, une mère de trois enfants. Elle m’a dit : « Je n’en peux plus, c’est le chaos partout chez moi. Je me sens submergée, débordée. »
Ces mots étaient posés.
Même si leur maison abondait en placards et en espaces de rangement. Laura était consciente d’un problème sans pouvoir le définir complètement, ni le résoudre.
Nous avons donc commencé par discuter de leur famille et de leur mode de vie. Chaque famille est unique, et donc chaque problème l’est aussi.
Ensuite, nous avons exploré chaque pièce, ouvert les placards, et j’ai écouté l’histoire de ces objets. Et devinez quoi ?
Nous avons réussi à identifier et à exprimer que le désordre n’était que la conséquence de quelque chose de totalement différent. En effet, la racine du problème était la peur de manquer. Elle accumulait donc des affaires au delà des capacités de rangement de ses nombreux meubles.
Mon rôle n’est pas de vous dire de faire trois piles (à jeter, à donner, à recycler), de dire au revoir à tout. En revanche, vous aider à comprendre pourquoi vous en êtes arrivé(e) là, c’est là que le côté psychologique de mon travail se met en avant.
Nous ne pouvons changer que ce dont nous sommes conscients.
Pour reprendre l’exemple de Laura, sa cuisine était constamment encombrée. En ouvrant les placards pour voir comment libérer de l’espace, nous avons pu constater que l’un d’entre eux était rempli d’une quarantaine de tasses, une véritable collection de formes et de couleurs des plus variées. Je lui ai demandé pourquoi elle gardait autant de tasses, parce que les objets sont souvent chargés d’émotions, ce qui explique la difficulté à s’en séparer. Il y avait la première tasse que son mari lui avait offerte, celle des enfants pour la fête des mères, ou encore des souvenirs d’enfance. Chaque tasse racontait une histoire, un souvenir, une anecdote. Il était donc difficile de s’en séparer sans avoir la peur de ne plus s’en rappeler.
Nous avons donc commencé par trier les tasses qu’ils n’utilisaient pas et qui n’évoquaient pas de souvenirs réconfortants.
A sa grande surprise, rien que cette première étape nous a permis de faire le ménage de 12 tasses ! Laura était ravie et elle comptait bien continuer sur cette voie .
Il est temps de laisser tomber l’idée d’une maison parfaite comme dans les magazines ou d’un intérieur minimaliste japonais. Sauf si c’est votre objectif !
Je suis là pour vous aider à alléger votre quotidien par le désencombrement matériel, tout en préservant l’âme de votre maison.
Si, comme Laura, vous voulez libérer l’espace pour ressentir cette harmonie chez vous, consultez mon Guide ultime, téléchargeable gratuitement. Pour aller encore plus loin, je vous propose un entretien (gratuit), découverte de 45 minutes. Contactez-moi pour vous offrir un voyage vers un chez-vous plus serein.